A l'aube de la vingtaine, Noah, Joyce et un narrateur non identifié quittent leur lieu de naissance pour entamer une longue migration. Fraîchement débarqués à Montréal, ils tentent de prendre leur vie en main, malgré les erreurs de parcours, les amours défectueuses et leurs arbres généalogiques tordus. Ils se croient seuls; pourtant, leurs trajectoires ne cessent ne se croiser, laissant entrevoir une incontrôlable symétrie au sein de leur existence.
Ma critique :
Je ne savais pas à quoi m’attendre en voyant la couverture qui abordait 3 jolis poissons colorés. Au début, il m’a fallu bien du temps à embarquer dans l’histoire, car je trouvais que la description des trois personnages principaux était franchement trop longue. J’attendais l’action, j’attendais le mystère, l’intrigue. L’histoire de « ces trois petits orphelins (car chaque personnage, est seul au monde, mais de manière différente) m’a attendrie et même réconfortée. L’histoire est douce et agréable, je me suis reconnue dans la personnalité des protagonistes! Le roman n’est pas basé sur une personne, mais sur plusieurs histoires. J’avoue que j'ai eu un petit penchant vers le personnage de Noah et tout ce qui l’entoure. Je le trouve touchant et j’ai senti son cœur battre à travers ses aventures. Ce genre de roman ce lit bien entouré de coussins; avec un bon thé. L'écriture est agréable et bien ficelé. Soyez courageux, car environ 50 pages sont nécessaires pour s’installer dans l’histoire de ces trois exilés, enfuis à Montréal.
Je donne 4 Poissons sur 5 , car en plus de la couverture du livre, plusieurs petits éléments du livre se rapportent aux poissons. Si vous avez envie de quelque chose qui ne sort pas trop de la vie quotidienne, Nikolski est votre poisson. Ah!
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